- EAN13
- 9791029001420
- ISBN
- 979-10-290-0142-0
- Éditeur
- Chapitre.com
- Date de publication
- 09/06/2014
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 19 x 12 x 1 cm
- Poids
- 123 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Le strop
Extraits des notes de guillaume cooreman, dit guille, volontaire de guerre
Guille
Chapitre.com
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Résumé :
Strop : sobriquet donné aux habitants de la ville de Gand : cela signifierait lien, licou, corde. Ce cadre, dans lequel se déroulait la vie dure des combattants du front, vous expliquera aussi comment s’est noué ce lien de camaraderie qui unissait tous « Anciens de 14-18 ». C’est en partageant les mêmes travaux, les mêmes privations, les mêmes souffrances, en courant les mêmes dangers, que ce lien est devenu assez fort pour ne pas être tranché par le temps, ce destructeur qui ruine tant de choses.
Auteur(s) :
Guillaume Cooreman dit « Guille » né en 1886, est le cinquième enfant d’ une famille de sept. Comme collégien et surtout comme étudiant il s’est distingué par son talent d’acteur et d’auteur dans les pièces et les revues qui se jouaient aux différents cercles de Gand. Docteur en droit, il pratiquait discrètement, quand se déclara la guerre. Il s’engagea comme volontaire au corps de autos-canons mais passa à l’artillerie et y resta jusqu’à la fin des conflits, refusant tout avancement et se complaisant dans les plus humbles fonctions.
Strop : sobriquet donné aux habitants de la ville de Gand : cela signifierait lien, licou, corde. Ce cadre, dans lequel se déroulait la vie dure des combattants du front, vous expliquera aussi comment s’est noué ce lien de camaraderie qui unissait tous « Anciens de 14-18 ». C’est en partageant les mêmes travaux, les mêmes privations, les mêmes souffrances, en courant les mêmes dangers, que ce lien est devenu assez fort pour ne pas être tranché par le temps, ce destructeur qui ruine tant de choses.
Auteur(s) :
Guillaume Cooreman dit « Guille » né en 1886, est le cinquième enfant d’ une famille de sept. Comme collégien et surtout comme étudiant il s’est distingué par son talent d’acteur et d’auteur dans les pièces et les revues qui se jouaient aux différents cercles de Gand. Docteur en droit, il pratiquait discrètement, quand se déclara la guerre. Il s’engagea comme volontaire au corps de autos-canons mais passa à l’artillerie et y resta jusqu’à la fin des conflits, refusant tout avancement et se complaisant dans les plus humbles fonctions.
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