- EAN13
- 9782350462615
- ISBN
- 978-2-35046-261-5
- Éditeur
- Filigranes
- Date de publication
- 06/11/2012
- Nombre de pages
- 200
- Dimensions
- 25 x 20 x 2,1 cm
- Poids
- 942 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Tours et détours de la Havane à Paris
Exposition à la Maison de l'Amérique latine du 14 novembre 2012 au 28 février 2013
De Jesse A. Fernández, Juan Manuel Bonet, Gabriel Bauret
Filigranes
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Ce livre met en lumière une vie autant qu’une oeuvre ; une vie de photographe, mais aussi d'artiste qui traverse de nombreux pays, de Cuba à la France, séjournant notamment aux Etats-Unis. Avec comme constante l’Amérique du Sud et la Caraïbe, et en toile de fond l’Espagne.
Ce qui signifie un réseau d’affinités avec toutes ces cultures. Ce sont les villes : La Havane, New York, Madrid, Paris, où se concentrent les personnalités artistiques et littéraires, qui attirent Jesse Fernández. Ses photographies sont autant de restitutions de ses rencontres avec écrivains, peintres, musiciens, danseurs, comédiens... La liste est éloquente et très variée : Alicia Alonso, Francis Bacon, José Luis Borges, Luis Buñuel, Guillermo Cabrera Infante, Emil Cioran, Julio Cortázar, Salvador Dali, Miles Davis, Marlène Dietrich, Marcel Duchamp, Carlos Fuentes, William de Kooning, Ernest Hemingway, Wifredo Lam, Gabriel García Márquez, Joan Miró, Françoise Sagan, Antonio Saura, Elisabeth Taylor, Edgar Varèse…
L’œuvre se développe entre les années 50 et les années 80. Si elle concerne en premier lieu Cuba, avant la révolution castriste et pendant celle-ci, ce n’est pas pour autant le point de départ de la carrière du photographe : elle débute en Colombie en 1952, après des études de peinture.
150 photographies sont réunies dans ce livre: reproductions de tirages d’époque et réalisés pour l’essentiel par l’auteur. L’ensemble est complété par quelques tirages modernes. La sélection met en avant les qualités du portraitiste. Mais figurent également quelques-uns des motifs sur lesquels le photographe a travaillé, comme celui de la rue, ainsi que des extraits de ses reportages pour la presse. La mise en page suit chronologiquement son parcours.
Une œuvre pensée principalement en noir et blanc, et dont la forme n’est en fin de compte jamais très loin de son goût pour la peinture de son époque, et en particulier l’abstraction. Quelques pièces représentatives de l’autre facette de l’œuvre : dessins, tableaux et collages, figureront également dans l’ouvrage.
Exposition présentée à la Maison de l’Amérique latine dans le cadre du Mois de la Photo à Paris, 2012 : 14 novembre 2012 – 28 février 2013.
Ce qui signifie un réseau d’affinités avec toutes ces cultures. Ce sont les villes : La Havane, New York, Madrid, Paris, où se concentrent les personnalités artistiques et littéraires, qui attirent Jesse Fernández. Ses photographies sont autant de restitutions de ses rencontres avec écrivains, peintres, musiciens, danseurs, comédiens... La liste est éloquente et très variée : Alicia Alonso, Francis Bacon, José Luis Borges, Luis Buñuel, Guillermo Cabrera Infante, Emil Cioran, Julio Cortázar, Salvador Dali, Miles Davis, Marlène Dietrich, Marcel Duchamp, Carlos Fuentes, William de Kooning, Ernest Hemingway, Wifredo Lam, Gabriel García Márquez, Joan Miró, Françoise Sagan, Antonio Saura, Elisabeth Taylor, Edgar Varèse…
L’œuvre se développe entre les années 50 et les années 80. Si elle concerne en premier lieu Cuba, avant la révolution castriste et pendant celle-ci, ce n’est pas pour autant le point de départ de la carrière du photographe : elle débute en Colombie en 1952, après des études de peinture.
150 photographies sont réunies dans ce livre: reproductions de tirages d’époque et réalisés pour l’essentiel par l’auteur. L’ensemble est complété par quelques tirages modernes. La sélection met en avant les qualités du portraitiste. Mais figurent également quelques-uns des motifs sur lesquels le photographe a travaillé, comme celui de la rue, ainsi que des extraits de ses reportages pour la presse. La mise en page suit chronologiquement son parcours.
Une œuvre pensée principalement en noir et blanc, et dont la forme n’est en fin de compte jamais très loin de son goût pour la peinture de son époque, et en particulier l’abstraction. Quelques pièces représentatives de l’autre facette de l’œuvre : dessins, tableaux et collages, figureront également dans l’ouvrage.
Exposition présentée à la Maison de l’Amérique latine dans le cadre du Mois de la Photo à Paris, 2012 : 14 novembre 2012 – 28 février 2013.
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