- EAN13
- 9782336412559
- Éditeur
- L'Harmattan
- Date de publication
- 30/11/2023
- Collection
- Accent tonique - Poésie
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - L'Harmattan 13,00
Dans Ce qui ouvre l’horizon, Ma Saïsara approche avec une perspective élargie
le thème de l’amour en lui donnant des tonalités sensibles, vibrantes et
ouvertes sur le monde.
Telle Shéhérazade, la poète commence ce second volume à partir de la nuit, une
nuit blessée et arrêtée, et décide de s’engager sur une voie inconnue d’elle-
même pour permettre au jour de renaître. Seront conviés en chemin souffles,
mélodies créoles, esprits, saveurs, paysages merveilleux. À l’arrivée, alors
que tout est profondément transformé, une pleine douceur peut enfin s’éprouver
et le plus beau chant d’amour se déployer.
En son coeur, Ma Saïsara nous offre quatorze Berceuses qui parcourent la
rondeur du monde d’ouest en est et accouchent d’une promesse de vie
inattendue.
Puis après avoir remercié ses aînées, la poète fait entendre ce qu’elle-même a
su saisir au présent sur le fil de l’horizon. Car à la fin, oui, rien, ni
personne ne peut ôter le pouvoir de création, le geste maternel, la caresse
d’amour.
le thème de l’amour en lui donnant des tonalités sensibles, vibrantes et
ouvertes sur le monde.
Telle Shéhérazade, la poète commence ce second volume à partir de la nuit, une
nuit blessée et arrêtée, et décide de s’engager sur une voie inconnue d’elle-
même pour permettre au jour de renaître. Seront conviés en chemin souffles,
mélodies créoles, esprits, saveurs, paysages merveilleux. À l’arrivée, alors
que tout est profondément transformé, une pleine douceur peut enfin s’éprouver
et le plus beau chant d’amour se déployer.
En son coeur, Ma Saïsara nous offre quatorze Berceuses qui parcourent la
rondeur du monde d’ouest en est et accouchent d’une promesse de vie
inattendue.
Puis après avoir remercié ses aînées, la poète fait entendre ce qu’elle-même a
su saisir au présent sur le fil de l’horizon. Car à la fin, oui, rien, ni
personne ne peut ôter le pouvoir de création, le geste maternel, la caresse
d’amour.
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