- EAN13
- 9782896155477
- Éditeur
- "Alire"
- Date de publication
- 12/04/2016
- Collection
- Malphas
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - "Alire" 10,90
Croyez-le ou non, malgré les terribles événements qui ont perturbé la première
semaine de cours, la session d’automne s’est poursuivie comme si de rien
n’était au cégep de Malphas. On a même eu droit, au département de
littérature, à un nouveau collègue, Michel Condé, qui a décidé de fonder un
club de lecture. Je m’y suis aussitôt inscrit : quoi de mieux qu’une activité
littéraire normale et tranquille pour oublier ce que j’ai vécu depuis mon
arrivée à Saint-Trailouin ? Pourtant, au cours de ces dernières semaines, je
n’ai pas arrêté de penser au mystère qui entoure Malphas et l’homme qui est à
l’origine du cégep, Rupert Archlax senior, et c’est pourquoi j’ai décidé de
reprendre mon enquête avec l’aide de Simon Gracq, qui ne demande pas mieux.
Or, pendant que je cherche une façon de découvrir le lien qui semble unir
Archlax senior à la vieille Fudd, une explication à l’odeur nauséabonde du
cégep – encore plus persistante dans le local 1814 où le club de lecture se
réunit – et ce qui se cache derrière la porte de métal dans le sous-sol du
cégep, moi, Julien Sarkozy, j’ai de plus en plus la certitude que cette
session, qui a si mal commencé, court maintenant à la catastrophe !
semaine de cours, la session d’automne s’est poursuivie comme si de rien
n’était au cégep de Malphas. On a même eu droit, au département de
littérature, à un nouveau collègue, Michel Condé, qui a décidé de fonder un
club de lecture. Je m’y suis aussitôt inscrit : quoi de mieux qu’une activité
littéraire normale et tranquille pour oublier ce que j’ai vécu depuis mon
arrivée à Saint-Trailouin ? Pourtant, au cours de ces dernières semaines, je
n’ai pas arrêté de penser au mystère qui entoure Malphas et l’homme qui est à
l’origine du cégep, Rupert Archlax senior, et c’est pourquoi j’ai décidé de
reprendre mon enquête avec l’aide de Simon Gracq, qui ne demande pas mieux.
Or, pendant que je cherche une façon de découvrir le lien qui semble unir
Archlax senior à la vieille Fudd, une explication à l’odeur nauséabonde du
cégep – encore plus persistante dans le local 1814 où le club de lecture se
réunit – et ce qui se cache derrière la porte de métal dans le sous-sol du
cégep, moi, Julien Sarkozy, j’ai de plus en plus la certitude que cette
session, qui a si mal commencé, court maintenant à la catastrophe !
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